Communiqué de presse : Journée internationale des droits de l’homme : la voix de tous les Haïtiens compte

10 déc 2012

Communiqué de presse : Journée internationale des droits de l’homme : la voix de tous les Haïtiens compte

Port-au-Prince, le 10 décembre 2012-La Journée internationale des droits de l’homme est célébrée annuellement le 10 décembre marquant l’anniversaire de l’adoption en 1948 de la Déclaration universelle des droits de l’homme par l’Assemblée générale des Nations Unies. Le thème retenu cette année par les Nations Unies pour la célébration est "l'inclusion et la participation à la vie publique".

Selon la Haut-Commissaire aux droits de l'homme des Nations Unies, Mme Navi Pillay, des millions de personnes à travers le monde demandent de plus en plus que leur gouvernement respectif cesse de décider ce qui est le mieux pour leurs populations sans les consulter. Elles revendiquent le droit de participer pleinement aux décisions et aux politiques qui affectent leur vie quotidienne aux niveaux international, national et local.

Le Gouvernement, la MINUSTAH, le Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme, l'équipe pays des Nations Unies et la société civile ont organisé ce lundi  10 décembre un atelier de réflexion sur « l'inclusion et la participation des groupes vulnérables à la vie publique ». D’autres activités de célébration telles que des conférences-débat, émissions radiophoniques et journée de réflexion, ont eu lieu dans toutes les régions du pays pour favoriser l’inclusion et la participation de tous les haïtiens, sans exception, à la vie publique.

A l’occasion de cette journée, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en Haiti, M. Mariano Fernández Amunátegui, rappelle que la voix de tous les haïtiens, notamment celle des plus vulnérables, compte et doit pouvoir être entendue. La MINUSTAH soutient des initiatives visant à renforcer les capacités de la société civile et à exprimer les besoins de la population, afin que ceux-ci soient pris en compte lors de l’élaboration des politiques publiques, du budget de l’Etat haïtien et des collectivités territoriales. « Le dialogue entre les autorités nationales et locales, la société civile et la population est primordial pour la réalisation progressive des droits économiques, sociaux et culturels en Haïti », réitère le Chef de la MINUSTAH.

Port-au-Prince, le 10 décembre 2012-La Journée internationale des droits de l’homme est célébrée annuellement le 10 décembre marquant l’anniversaire de l’adoption en 1948 de la Déclaration universelle des droits de l’homme par l’Assemblée générale des Nations Unies. Le thème retenu cette année par les Nations Unies pour la célébration est "l'inclusion et la participation à la vie publique".

Selon la Haut-Commissaire aux droits de l'homme des Nations Unies, Mme Navi Pillay, des millions de personnes à travers le monde demandent de plus en plus que leur gouvernement respectif cesse de décider ce qui est le mieux pour leurs populations sans les consulter. Elles revendiquent le droit de participer pleinement aux décisions et aux politiques qui affectent leur vie quotidienne aux niveaux international, national et local.

Le Gouvernement, la MINUSTAH, le Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme, l'équipe pays des Nations Unies et la société civile ont organisé ce lundi  10 décembre un atelier de réflexion sur « l'inclusion et la participation des groupes vulnérables à la vie publique ». D’autres activités de célébration telles que des conférences-débat, émissions radiophoniques et journée de réflexion, ont eu lieu dans toutes les régions du pays pour favoriser l’inclusion et la participation de tous les haïtiens, sans exception, à la vie publique.

A l’occasion de cette journée, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies en Haiti, M. Mariano Fernández Amunátegui, rappelle que la voix de tous les haïtiens, notamment celle des plus vulnérables, compte et doit pouvoir être entendue. La MINUSTAH soutient des initiatives visant à renforcer les capacités de la société civile et à exprimer les besoins de la population, afin que ceux-ci soient pris en compte lors de l’élaboration des politiques publiques, du budget de l’Etat haïtien et des collectivités territoriales. « Le dialogue entre les autorités nationales et locales, la société civile et la population est primordial pour la réalisation progressive des droits économiques, sociaux et culturels en Haïti », réitère le Chef de la MINUSTAH.