Communiqué de presse - Lambert Wilson « inspiré par le courage du peuple haïtien »

30 avr 2013

Communiqué de presse - Lambert Wilson « inspiré par le courage du peuple haïtien »

Lambert Wilson « inspiré par le courage du peuple haïtien »

Port-au-Prince, le 30 avril 2013- Le comédien Lambert Wilson a conclu, ce mardi 30 avril, sa visite de six jours en Haïti, au cours de laquelle il a visité plusieurs projets des Nations Unies et rencontré de nombreux Haïtiens engagés dans la défense de l’environnement et la promotion de la culture.

« J’ai été au contact d’une population, certes parfois dépourvue de moyens, mais dynamique. Je suis inspiré par le courage du peuple haïtien qui ne cesse jamais de travailler à améliorer ses conditions de vie », a-t-il déclaré.

Peu après son arrivée dans le pays, M. Wilson a passé deux jours dans le département du Sud. Aux Cayes, il a assisté à un spectacle sur le thème de la prévention de la violence préparé par des jeunes artistes en herbe des quartiers vulnérables de la ville, encadrés par l’Association pour la promotion de la paix par les arts (APPARTS).

Ces jeunes s’investissent dans des activités en faveur d’une culture de la paix tout en dénonçant le phénomène des enfants en domesticité. « Je suis agréablement surpris de constater qu’il y a parmi ces jeunes des acteurs formidables », a-t-il confié.

M. Wilson a, par ailleurs, rencontré l’agronome responsable du Jardin botanique des Cayes dont l’ambitieux projet est de couvrir une superficie de 8 hectares de toutes les espèces endémiques d’Haïti, notamment des plantes médicinales.

Il a aussi visité des projets de reforestation et de gestion des bassins versants financés par les Nations Unies aux alentours d’Aquin, qui impliquent des associations de femmes et de planteurs de la région.  « Ce projet revêt une double portée écologique et socioéconomique », a souligné M. Wilson, qui espère que l’approche pragmatique de ce projet « facilitera sur le long terme le reboisement des montagnes qui sont complètement dénudées et pelées ».

A Tête Létang, le comédien a symboliquement replanté plusieurs plantules de la riche pépinière gérée par des femmes de l’Association de développement des femmes de Tête Létang (ADFT). « Cette initiative peut, à long terme, déboucher sur la commercialisation des pousses et apporter ainsi une manne financière à ces femmes », a-t-il souligné.

Dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, M. Wilson a salué la « cohérence » du projet  de nettoyage de ravines, dans le cadre de programmes pour la Réduction de la Violence Communautaire, par la construction de murs secs et la réinsertion sociale des jeunes des quartiers les plus défavorisés.

L’acteur français a également présenté à la Place de la Fierté, dans le quartier de Cité Soleil, l’un de ses derniers succès, Sur la piste du Marsupilami. Il a aussi visité le camp de déplacés de Jean-Mary Vincent, « l’expérience la plus forte de ma tournée d’observer les difficiles conditions de vie et la violence auxquelles les déplacés doivent quotidiennement faire face ».

« Ça serait prétentieux de dire que je peux être utile mais, en même temps, j’ai envie de revenir », a-t-il enfin confié à son départ. « Maintenant c’est concret, j’ai vu les gens, les paysages, les situations et surtout un cadre dans lequel je peux m’impliquer », a-t-il dit.

Lambert Wilson « inspiré par le courage du peuple haïtien »

Port-au-Prince, le 30 avril 2013- Le comédien Lambert Wilson a conclu, ce mardi 30 avril, sa visite de six jours en Haïti, au cours de laquelle il a visité plusieurs projets des Nations Unies et rencontré de nombreux Haïtiens engagés dans la défense de l’environnement et la promotion de la culture.

« J’ai été au contact d’une population, certes parfois dépourvue de moyens, mais dynamique. Je suis inspiré par le courage du peuple haïtien qui ne cesse jamais de travailler à améliorer ses conditions de vie », a-t-il déclaré.

Peu après son arrivée dans le pays, M. Wilson a passé deux jours dans le département du Sud. Aux Cayes, il a assisté à un spectacle sur le thème de la prévention de la violence préparé par des jeunes artistes en herbe des quartiers vulnérables de la ville, encadrés par l’Association pour la promotion de la paix par les arts (APPARTS).

Ces jeunes s’investissent dans des activités en faveur d’une culture de la paix tout en dénonçant le phénomène des enfants en domesticité. « Je suis agréablement surpris de constater qu’il y a parmi ces jeunes des acteurs formidables », a-t-il confié.

M. Wilson a, par ailleurs, rencontré l’agronome responsable du Jardin botanique des Cayes dont l’ambitieux projet est de couvrir une superficie de 8 hectares de toutes les espèces endémiques d’Haïti, notamment des plantes médicinales.

Il a aussi visité des projets de reforestation et de gestion des bassins versants financés par les Nations Unies aux alentours d’Aquin, qui impliquent des associations de femmes et de planteurs de la région.  « Ce projet revêt une double portée écologique et socioéconomique », a souligné M. Wilson, qui espère que l’approche pragmatique de ce projet « facilitera sur le long terme le reboisement des montagnes qui sont complètement dénudées et pelées ».

A Tête Létang, le comédien a symboliquement replanté plusieurs plantules de la riche pépinière gérée par des femmes de l’Association de développement des femmes de Tête Létang (ADFT). « Cette initiative peut, à long terme, déboucher sur la commercialisation des pousses et apporter ainsi une manne financière à ces femmes », a-t-il souligné.

Dans la région métropolitaine de Port-au-Prince, M. Wilson a salué la « cohérence » du projet  de nettoyage de ravines, dans le cadre de programmes pour la Réduction de la Violence Communautaire, par la construction de murs secs et la réinsertion sociale des jeunes des quartiers les plus défavorisés.

L’acteur français a également présenté à la Place de la Fierté, dans le quartier de Cité Soleil, l’un de ses derniers succès, Sur la piste du Marsupilami. Il a aussi visité le camp de déplacés de Jean-Mary Vincent, « l’expérience la plus forte de ma tournée d’observer les difficiles conditions de vie et la violence auxquelles les déplacés doivent quotidiennement faire face ».

« Ça serait prétentieux de dire que je peux être utile mais, en même temps, j’ai envie de revenir », a-t-il enfin confié à son départ. « Maintenant c’est concret, j’ai vu les gens, les paysages, les situations et surtout un cadre dans lequel je peux m’impliquer », a-t-il dit.