Message du Secrétaire général à l’occasion de la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes
Les attaques perpétrées contre des journalistes constituent une violation des droits de l’homme et portent atteinte à la liberté d’information et d’expression dans toutes les sociétés. L’impunité, qui aggrave cette terrible situation, règne à l’état endémique. Selon les informations disponibles, sur les 827 meurtres de journalistes établis au cours de la décennie écoulée, 8 % seulement des auteurs ont répondu de leurs actes
Je m’incline devant le courage de tous les journalistes qui mettent leur vie en danger pour faire triompher la vérité et je demande que des mesures immédiates soient prises pour rendre justice à ceux d’entre eux qui ont été attaqués, harcelés ou tués.
L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) s’attache actuellement à mobiliser l’ensemble des partenaires pour mettre en œuvre le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité. Le succès de cette entreprise repose sur une coopération à même de créer une culture de la liberté d’expression en vertu de laquelle ceux qui entravent l’exercice par les journalistes de leur métier sont sanctionnés et tous ceux qui s’en prennent à eux sont punis.
À cette fin, j’invite tous les pays à célébrer la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes afin de garantir à tous les professionnels des médias l’espace dont ils ont besoin pour travailler sans être soumis à quelque forme de harcèlement ou d’intimidation que ce soit. De la sorte, nous renforcerons l’accès public à l’information, qui est la clef de la réalisation de des objectifs de développement durables. La participation de tous, de façon éclairée, à la prise de décisions fait progresser le développement durable en ce qu’elle contribue à bâtir des sociétés résilientes, stables et justes.
Des activités commémoratives sont prévues à travers le monde, notamment au Myanmar, qui fêtera officiellement la Journée pour la première fois dans le cadre de sa transition vers la démocratie par des discussions qui se dérouleront à l’occasion de la Conférence annuelle sur le développement des médias. En Fédération de Russie, l’UNESCO s’associera à l’Union des journalistes russes pour examiner la situation actuelle, honorer ceux qui ont perdu la vie et sensibiliser à l’importance de mettre fin à l’impunité. Au Pakistan, l’UNESCO coopère avec des représentants des pouvoirs publics dans le cadre de pourparlers sur le renforcement de la sécurité des journalistes. En Tanzanie, elle collabore avec les autorités pour organiser un séminaire commémorant la Journée.
J’exhorte tous les pays, en particulier ceux où les journalistes sont menacés, à célébrer cette journée. Engageons-nous à tout faire pour contribuer à l’instauration d’un climat plus sain pour les journalistes et à l’édification d’une société plus libre pour tous.
Les attaques perpétrées contre des journalistes constituent une violation des droits de l’homme et portent atteinte à la liberté d’information et d’expression dans toutes les sociétés. L’impunité, qui aggrave cette terrible situation, règne à l’état endémique. Selon les informations disponibles, sur les 827 meurtres de journalistes établis au cours de la décennie écoulée, 8 % seulement des auteurs ont répondu de leurs actes.
Je m’incline devant le courage de tous les journalistes qui mettent leur vie en danger pour faire triompher la vérité et je demande que des mesures immédiates soient prises pour rendre justice à ceux d’entre eux qui ont été attaqués, harcelés ou tués.
L’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) s’attache actuellement à mobiliser l’ensemble des partenaires pour mettre en œuvre le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité. Le succès de cette entreprise repose sur une coopération à même de créer une culture de la liberté d’expression en vertu de laquelle ceux qui entravent l’exercice par les journalistes de leur métier sont sanctionnés et tous ceux qui s’en prennent à eux sont punis.
À cette fin, j’invite tous les pays à célébrer la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes afin de garantir à tous les professionnels des médias l’espace dont ils ont besoin pour travailler sans être soumis à quelque forme de harcèlement ou d’intimidation que ce soit. De la sorte, nous renforcerons l’accès public à l’information, qui est la clef de la réalisation de des objectifs de développement durables. La participation de tous, de façon éclairée, à la prise de décisions fait progresser le développement durable en ce qu’elle contribue à bâtir des sociétés résilientes, stables et justes.
Des activités commémoratives sont prévues à travers le monde, notamment au Myanmar, qui fêtera officiellement la Journée pour la première fois dans le cadre de sa transition vers la démocratie par des discussions qui se dérouleront à l’occasion de la Conférence annuelle sur le développement des médias. En Fédération de Russie, l’UNESCO s’associera à l’Union des journalistes russes pour examiner la situation actuelle, honorer ceux qui ont perdu la vie et sensibiliser à l’importance de mettre fin à l’impunité. Au Pakistan, l’UNESCO coopère avec des représentants des pouvoirs publics dans le cadre de pourparlers sur le renforcement de la sécurité des journalistes. En Tanzanie, elle collabore avec les autorités pour organiser un séminaire commémorant la Journée.
J’exhorte tous les pays, en particulier ceux où les journalistes sont menacés, à célébrer cette journée. Engageons-nous à tout faire pour contribuer à l’instauration d’un climat plus sain pour les journalistes et à l’édification d’une société plus libre pour tous.